Bébé dort.
L'innocence éperdue.
Gilet doux sur ce corps
de babil endormi.
Pieds nus,
souffle rapide et régulier,
si léger, il s'envole.
Maman aussi a reposé
ton poids de vie en d'autres bras
et te regarde.
Sourire,
on ne peut pas nommer
la paix au saint visage.
lundi 1 mars 2010
Journée
« Tant que dure pour nous ton aujourd’hui »
Sur la Guillotière, matin couru, se lève le soleil.
Sur les ponts de Saône, soir grisé, il se couche.
Reflet du temps inutile écoulé.
...
Un pas sur le trottoir
comme un saut dans la ville,
une entrée dans la vie,
un sourire échangé :
bras du père.
Sur la Guillotière, matin couru, se lève le soleil.
Sur les ponts de Saône, soir grisé, il se couche.
Reflet du temps inutile écoulé.
...
Un pas sur le trottoir
comme un saut dans la ville,
une entrée dans la vie,
un sourire échangé :
bras du père.
Paris/Lyon
Nuages bas sur le monde :
poésie de la Création.
Dans le train de Livry à Lyon
un regard glissant sur les plaines
infinies du bassin parisien.
Retard de train.
Inscription à :
Articles (Atom)